En 1980, il rencontre Serge Gainsbourg et se livre avec lui à une brève facétie verbale : “Et cætera c’est adéquat”. Dans un grand magasin, celui où Marcel Duchamp a acheté son porte-bouteille, il fait inscrire cette phrase sur des plaques minéralogiques, pour commémorer l’événement. Joël Ducorroy adopte la dénomination d’artiste plaquetitien, qu’un ami de Raymond Hains, Jean-Claude Lange lui a suggéré. Début 2009, Critères Editions éditent la première monographie, rédigée par Marlène Girardin, sur l’artiste plaquetitien. Joël Ducorroy est représenté depuis 1994 par la galerie baudoin lebon à Paris. Il expose aussi dans la galerie de Georges Michel Kahn et la galerie Incognito Paris - Monaco.